Pour chaque vie, il y a une mort. Et pour chaque personne, il y a une envie que seulement peu assouvisse : écouter la voix obscure qui nous dit d’éteindre la vie d’une autre personne. Vous pouvez marcher dans la rue et effleurer l’épaule d’un inconnu avant d’échanger un sourire poli, sans vous douter que ce même inconnu s’imagine en train de contempler votre corps ensanglanté au moment de votre dernier souffle. Il y a un endroit pour ces personnes. Ils ont tous tué, ils y ont tous pensé, certains veulent arrêter, d’autres veulent parler quand les derniers auraient besoin d’écouter.